Auteure : Ludivine Hart
Editions : Addictives
Résumé :
Rien ne le fera tomber amoureux… sauf peut-être un pari.
Cela faisait huit ans que Joy n’était pas revenue à Los Angeles. Huit années d’absence qui ont laissé un goût amer dans la bouche d’un certain voisin…
James n’a plus rien de son ami d’enfance, le garçon avec qui elle jouait quand elle avait 10 ans. Non, c’est un jeune homme endurci, avec qui la vie n’a pas été tendre, qu’elle retrouve aujourd’hui. Il a beau faire semblant de ne pas la reconnaître, elle sait qu’il ne l’a pas oubliée.
Joy espère faire renaître leur amitié, mais ce ne sont plus des enfants et leurs jeux ne sont plus aussi innocents… Tant et si bien qu’ils se lancent un défi : il parie qu’il la mettra dans son lit, elle parie qu’il tombera amoureux d’elle bien avant. Qui l’emportera ?
Service presse
Avis :
Hello !
On se retrouve pour mon avis sur la nouvelle romance de Ludivine Hart. J’avais adoré sa première parue chez Addictives. Et le résumé de ce roman m’a beaucoup tenté. Je remercie Bérénice des éditions addictives pour l’envoi de cette romance.
Joy a 17 ans et vit à Miami avec ses parents. Jusqu’à ses 12 ans, elle passait ses étés à Los Angeles chez son parrain. A la rentrée, elle va entrer à l’UCLA pour faire des études de marketing.
James a 18 ans et vit à Los Angeles avec son petit frère et sa tante. Il a déjà un sacré vécu. Sa vie s’est effondrée à la mort de sa mère. James est passionné par le dessin. Il est populaire. Toutes les filles sont à ses pieds.
Après six ans d’absence, Joy revient à Los Angeles pour les vacances. Elle va séjourner chez son parrain pendant deux mois. Joy appréhende autant qu’elle est excitée par ce retour. Si elle est bien accueillie par son oncle et sa tante, sa cousine Veronica est loin d’être ravie de son arrivée. Elles ne se sont jamais entendues, malgré tous les efforts que Joy a essayé de faire. Peu importe, Joy compte bien profiter de ces deux mois de vacances avant son entrée à l’université.
« Je te déteste parce que tu n’es jamais revenue alors que j’étais amoureux de toi. Et parce que maintenant que tu es là, je te désire comme un fou. »
Revenir à Los Angeles pour Joy, c’est retrouver James, son ami d’enfance avec qui elle jouait quand elle rendait visite à sa famille. En le revoyant, Joy a l’impression d’être projetée des années en arrière. Les souvenirs remontent. Le retour de Joy n’enchante pas James. Il va faire semblant de ne pas la reconnaitre et l’ignorer. James en veut à Joy de l’avoir abandonné pendant six ans, de ne pas avoir été là quand il avait le plus besoin d’elle. James était amoureux de Joy à l’époque. Il l’a attendu pendant des années. Mais désormais, il est trop tard. James ne pensait plus jamais la revoir. Il compte faire regretter à Joy d’être revenue.
« Ce n’est pas ma faute. J’ai beau tout faire pour l’éviter, je suis comme attirée par lui. Je ne le dirai jamais assez, mais ce mec est magnifique. »
« Elle est ma proie et je compte bien la faire mienne. »
Joy aimerait retrouver leur complicité. Mais James n’a plus rien à voir avec celui de ses souvenirs et ils ne sont plus des enfants. Tous deux vont se défier. James parie que Joy sera dans son lit avant qu’elle ne reparte, tandis que Joy parie qu’il sera amoureux d’elle avant qu’elle ne reparte. Joy compte tout faire pour que James retombe amoureux d’elle. Mais hors de question de succomber de son côté, même-si James la trouble. Elle va le pousser à bout. James refuse de laisser de nouveau entrer Joy dans sa vie. Il ne veut pas avoir encore le cœur brisé. James doit oublier Joy. Mais ce n’est pas si simple, surtout quand cette dernière trouve facilement sa place dans sa bande d’amis. Alors qui remportera la partie ? Ces vacances ne s’annoncent pas de tout repos !
« Je t’en supplie, Joy, ne me repousse plus, ne m’abandonne pas toi non plus. Depuis que tu es revenue, j’ai l’impression d’entrapercevoir la lumière et je ne veux plus être dans le noir. »
J’ai passé un bon moment avec cette histoire touchante, douce et légère. Je suis toute suite entrée dans ce roman. J’ai un faible pour les amours d’enfance. Joy et James ont fait battre mon coeur. Des sujets forts sont évoqués, notamment la peur de l’abandon. L’intrigue autour du pari est bien trouvée. Mais j’ai eu l’impression que la pari était vite oublié. J’aurais aimé un peu plus de rebondissements et de profondeur. J’ai ressenti quelques longueurs. Malgré tout, la plume de l’auteure est toujours aussi addictive.
« Tu as été mon premier dessin et j’aimerais que tu sois le dernier. Je t’aime, Joy. Et j’ai définitivement perdu notre pari. »
« Je crois que je l’aime plus que je n’ai jamais aimé quiconque. »
Les personnages sont attachants. Joy est une femme déterminée, solaire, naturelle et entière. J’ai aimé son caractère. Elle ne se laisse pas faire. James est un homme mystérieux, protecteur, attentionné et sensible. Son histoire m’a touchée. Il est vraiment à fleur de peau. Entre Joy et James, c’est aussi électrique que puissant. Leur alchimie est indéniable. Leur couple si mignon m’a attendri.
« C’est comme si mon coeur s’était retranché derrière des barrières et que James venait de le libérer. Il déborde d’amour envers lui. On peut enfin s’aimer sans plus rien entre nous. »
« Je te veux, James. Toi, et toi seul. Je reste là, James. Je suis là pour toi. »
J’ai beaucoup aimé les personnages secondaires. Cette bande d’amis est si géniale qu’on a envie d’en faire partie. Entre rancœur, vengeance, pari, tension et non-dits, cette romance vous fera du bien au cœur. C’est la parfaite lecture pour l’été. Si vous aimez les histoires de seconde chance et les romances fleur bleue avec du piquant, je vous la recommande grandement.
« Il était mon meilleur ami à l’époque, mon ennemi à mon arrivée, mon défi de cet été, puis mon petit copain. Il est maintenant tout : mon meilleur ennemi, mon meilleur ami, mon confident, mon havre de paix et surtout mon homme, le seul et l’unique. Il l’a toujours été. »
« Peu importe ce qui se passe, tant qu’il est là, j’ai confiance en l’avenir. Nous deux, c’était une certitude depuis le début. »
Note : 3,5/5
Elsa
Je ne sais pas trop quoi en penser après la lecture de ta chronique. Si j’ai l’occasion, je me ferais mon opinion 🙂
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