Quelqu’un comme toi

Auteure : Amélie C. Astier

Autoédition

Résumé :

Découvrez une comédie romantique pétillante entre un footballeur suédois qui ne parle pas français et une traductrice qui déteste le football ! 

À la suite d’un désaccord avec son entraineur, Magnus Mortensen, la nouvelle star suédoise du football, se retrouve dans une situation délicate qui le contraint d’accepter un transfert temporaire au sein du championnat français.

Le hic ? Il ne parle pas un mot de cette langue !

Hazel Roy, jeune étudiante au sarcasme légendaire, accepte à contrecœur sa mission de traductrice.

Entre la star du ballon rond et la rebelle au cœur tendre, la colocation n’est pas de tout repos et les étincelles fusent dès le premier instant.

Mais entre les joutes verbales, les cours et les entrainements, Magnus et Hazel pourraient découvrir que malgré leurs différences, ils ont bien plus en commun qu’ils ne l’imaginaient.

Quand les opposés s’attirent, le match le plus difficile ne se disputera peut-être pas sur le terrain.

Service presse

Avis :

Hello !

On se retrouve pour mon avis sur la nouvelle romance d’Amélie. J’avais hâte de retrouver enfin sa plume. En plus c’est une comédie romantique. Une lecture parfaite pour l’été. Je remercie Amélie pour l’envoi de son roman.

« Vous êtes son ancre au milieu de cet océan de paroles, sans vous, il serait perdu et tout le monde connaît votre importance dans ce processus. »

Magnus a 21 ans et vit à Malmö, en Suède, depuis toujours. Il fait parti du club de football de Malmö. C’est le meilleur joueur dans son club et l’espoir du football suédois.  Il a gagné le prix du meilleur buteur d’Europe en 2023. Malgré cela, il aspire à rester dans son club formateur. Magnus n’a pas envie de fréquenter les plus grands clubs et encore moins de quitter son pays.

Hazel a 21 ans et vit à Nice, en France, en colocation avec sa meilleure amie Alba. Après avoir obtenu une licence en langues, elle a pris une année sabbatique pour travailler et mettre de l’argent de côté pour financer son master. Hazel enchaine les petits boulots de traduction. Elle parle onze langues différentes.

« J’apprécie sincèrement Hazel, mais… je n’en sais rien. Parfois, je la regarde et une étincelle se produit au creux de ma poitrine. Ainsi que ces petites décharges électriques quand elle me frôle. Cette envie de toujours être avec elle, pas uniquement parce que, sans elle, je ne comprends rien de ce qui m’entoure, juste parce qu’Hazel est d’une excellente compagnie et que… merde, qu’est-ce qui m’arrive ? »

Suite à un désaccord avec son entraineur, Magnus se voit contraint d’être transféré dans le club de football de Nice pour une durée de quatre mois. C’est un cauchemar pour lui. Il se sent trahi. Magnus ne parle pas français ni ne le comprend. La seule langue qu’il maitrise, c’est le suédois. Il appréhende d’être loin de ses proches, de ses habitudes. Magnus déteste les changements. Mais il pourra compter sur une alliée : Hazel. Hazel parle couramment le suédois. Et grâce à sa meilleure amie footballeuse dans l’équipe féminine de Nice, elle a été embauchée pour être l’interprète à plein temps de la nouvelle recrue de Nice, ainsi que pour lui donner des cours d’anglais et de français. C’est un véritable défi pour Hazel qui déteste le football et qui va s’y retrouver immergée.

« Je reste bloqué sur son regard bleu, la seule couleur qu’elle porte, en me disant que ce n’est pas normal si mon cœur commence à battre aussi fort alors qu’elle me tient juste la main. »

« Magnus Mortensen est mon ami. Seulement mon ami. Et on n’embrasse pas ses amis. »

Hazel et Magnus vont devoir partager le même appartement pendant quatre mois. Hazel suivra Magnus dans chacun de ses déplacements. Propulsé dans un endroit où il ne comprend rien à des milliers de kilomètres de chez lui et avec la peur de ne pas être à la hauteur, Hazel va devenir le repère de Magnus. Dès leur rencontre, elle va l’amuser avec sa répartie. Elle est différente des femmes qui gravitent autour de lui habituellement. Son originalité lui plait et l’intrigue. Tous deux partagent le même humour douteux. Taquiner Hazel va devenir le passe temps favori de Magnus. Le prodige suédois est loin de l’image de diva que Hazel s’était imaginée. Hazel et Magnus vont s’apprivoiser facilement. Mais seront-ils à la hauteur des challenges qui les attendent ?

« Les choses dérapent si vite dans l’obscurité. Il suffit d’une étincelle et c’est l’incendie. La preuve. »

« C’est si difficile d’admettre qu’il y a une connexion entre nous ? »

« Je ne veux pas être attirée par quelqu’un comme toi. »

« Même si c’est une erreur, j’ai quand même envie de t’embrasser. »

Hazel est déterminée à accomplir son travail : apprendre le français et l’anglais à Magnus. Son avenir en dépend. Elle est pleine de ressources et ne manque pas d’idées farfelues. Mais un imprévu va venir compliqué sa mission apprentissage. Plus les jours passent, plus Hazel et Magnus se rapprochent. Magnus est perdu face à ce qu’il ressent. Seul le foot devrait occuper ses pensées. En plus, Hazel n’est pas une femme facile à apprivoiser. Alors Magnus réussira-t-il à s’intégrer dans cette équipe déjà soudée ? Sera-t-il à la hauteur du championnat ? Hazel sera-t-elle capable d’aller au-delà de ses préjugés ? Que se passera-t-il à la fin des quatre mois ? Plongez au cœur de cette colocation improbable pour le savoir !

« Ce soir, je ne me verrais pas ailleurs qu’à proximité d’une grincheuse gothique qui fait de super câlins et qui se laisse enfin aller à accepter que quelqu’un prenne soin d’elle. »

« J’observe mon coloc et, au fond de moi, je sais. Ça vaut le coup de risquer d’y laisser son cœur. »

J’ai beaucoup aimé cette histoire drôle, originale et pleine de piquant. Les personnages m’ont toute suite amusée puis ont fini par faire fondre mon cœur. J’ai presque dévoré ce roman d’une traite tant j’étais prise dans l’histoire. J’ai aimé plongé dans l’univers du football mais aussi les références tout au long du roman. Un sujet important est abordé aussi. C’était un plaisir de retrouver la plume de l’auteure.

« C’est ça, les âmes sœurs ? Les gens amoureux qui sont accros au toucher de l’autre ? Je rejoins leur team dans ce cas. Et ce n’est plus si effrayant. »

« On vit au jour le jour comme si on préparait nos cœurs à ce qu’ils puissent être brisés. »

« Pourtant, je n’arrête pas de dire à mon cerveau qu’on a signé pour un CDD à très courte durée, mais mon cœur, lui, préférerait des prolongations. »

Les personnages sont attachants et se dévoilent à nous petit à petit. Hazel est une femme intelligente, franche, un peu folle, généreuse et cynique. J’ai adoré sa personnalité piquante. Elle n’a pas sans langue dans sa poche. Hazel dit tout ce qu’elle pense. C’est un personnage unique que j’ai vraiment adoré. Magnus est un homme touchant, protecteur, têtu et taquin. Il a ses failles, notamment un certain manque de confiance en lui. Je suis tombée sous le charme de ce beau suédois. Entre Hazel et Magnus, c’est tendre et si naturel. J’ai aimé l’amitié qui se crée d’abord entre eux. J’ai adoré leurs joutes verbales. La tension monte au fil des pages. Leur alchimie est incroyable. J’ai adoré la franchise de leur relation. Mais ils m’ont tout de même bien frustré.

« -Tu crois qu’on a fait une erreur ? chuchote Hazel en rompant le silence.

-Je crois que l’erreur, on l’a faite avant, je réponds. »

« J’ai trouvé ça mignon que tu te prennes un carton jaune juste pour moi. »

« Magnus Mortensen est tombé amoureux de moi et je crois que moi aussi. »

J’ai adoré les personnages secondaires aussi, notamment les coéquipiers de Magnus. Il y a un vrai esprit de fraternité entre eux. Les amis de Hazel sont géniaux aussi. Impossible de s’ennuyer avec tous ces personnages hors du commun. Je les ai tous quittés avec un pincement au cœur. Entre défis, secret et chamailleries, j’ai passé un super moment avec cette romance touchante, rafraichissante et pleine d’humour. C’est la lecture parfaite pour cette fin d’été.

« Je crois que je suis tombée amoureuse de toi la première fois que je t’ai vu essayer le tricot. »

« Et finalement… c’est toujours quand on s’y attend le moins qu’on succombe. »

« Quoi qu’il se passe, je t’aime et on trouvera une solution. »

« Quoi qu’elle me dise, quoi qu’il se passe, je me sens surtout chanceux d’être tombé amoureux de quelqu’un comme elle. »

Note : 4,5/5

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Elsa